Dans les décennies du milieu du XVIIe siècle, le réarmement naval devient l'un des thèmes les plus intéressants de le débat public génoise. La course maritime, pratiquée dans la mer de Ligurie, et le long des principales routes commerciales liguriennes, avait porté dommage aux intérêts économiques génoises pendant la guerre de Trente Ans, et au milieu du siècle l'idée de renforcer la défense militaire de les navires marchands "national" est promu par une classe politique en évolution, qui voudrait couper (ou moins desserrer) les liens avec l’Espagne et souhaite la transformation de Gênes de place financière à nouvelle puissance marchande et maritime. Dans ce cadre, il se pose une reprise de la construction navale, qui ne trouve pas de place dans la darse de la ville: entre les années ’50 et ’70 du XVIIe siècle, sur les plages de la communauté de Sampierdarena, juste en dehors des murs de la ville, ils construisent des grands navires de quarante mètres de longe et équipé de plusieurs dizaines de canons. Ces navires (que la République de Gênes n'a jamais possédé, a toujours liée à une petite escadre d'environ 6-8 galères) navigueront jusqu’à la fin des années ’80, servant d'escorte pour les navires marchands, en particulier dans les éxpeditions directs à Cadix (sans oublier de charger au retour beaucoup d’argent americain en contrebande). La communication se concentre sur le cas de le navire Saint-Jean-Baptiste III, fabriqué à Sampierdarena entre 1672 et 1678, pour la préparation de le quel il est impliqué la plupart du territoire de la République: en particulier le bois arrive des rivières, les travailleurs sont des communautés du Dominio de Gênes, et pour le transport de matières se active un système logistique bien testé et basée sur la navigation des bateaux de petit tonnage, qui font des voyages réguliers de ports d’escale des Rivières au chantier naval de Sampierdarena. L'absence d'une installation permanent de construction naval (à savoir d’un grand arsenal dans le port) contraint ainsi l'activation et de la mobilisation des énergies, ressources et compétences qui sont «diffuses» à l'intérieur de tout le Dominio de Gênes. L'intention est de refléter sur l'expérience génoise de la construction de grands navires dans la seconde moitié du XVIIe siècle, comme exemple qui met en valeur les particularités des structures urbaines de la ville de Gênes et mettre en évidence la relation spéciale entre la ville et sa région, entre complémentarité et intégration.

Un arsenal en dehors de la ville. La construction des vaisseaux de guerre sur la plage du Ponant de Gênes (seconde moitié du XVIIe siècle)

Calcagno, Paolo
2021-01-01

Abstract

Dans les décennies du milieu du XVIIe siècle, le réarmement naval devient l'un des thèmes les plus intéressants de le débat public génoise. La course maritime, pratiquée dans la mer de Ligurie, et le long des principales routes commerciales liguriennes, avait porté dommage aux intérêts économiques génoises pendant la guerre de Trente Ans, et au milieu du siècle l'idée de renforcer la défense militaire de les navires marchands "national" est promu par une classe politique en évolution, qui voudrait couper (ou moins desserrer) les liens avec l’Espagne et souhaite la transformation de Gênes de place financière à nouvelle puissance marchande et maritime. Dans ce cadre, il se pose une reprise de la construction navale, qui ne trouve pas de place dans la darse de la ville: entre les années ’50 et ’70 du XVIIe siècle, sur les plages de la communauté de Sampierdarena, juste en dehors des murs de la ville, ils construisent des grands navires de quarante mètres de longe et équipé de plusieurs dizaines de canons. Ces navires (que la République de Gênes n'a jamais possédé, a toujours liée à une petite escadre d'environ 6-8 galères) navigueront jusqu’à la fin des années ’80, servant d'escorte pour les navires marchands, en particulier dans les éxpeditions directs à Cadix (sans oublier de charger au retour beaucoup d’argent americain en contrebande). La communication se concentre sur le cas de le navire Saint-Jean-Baptiste III, fabriqué à Sampierdarena entre 1672 et 1678, pour la préparation de le quel il est impliqué la plupart du territoire de la République: en particulier le bois arrive des rivières, les travailleurs sont des communautés du Dominio de Gênes, et pour le transport de matières se active un système logistique bien testé et basée sur la navigation des bateaux de petit tonnage, qui font des voyages réguliers de ports d’escale des Rivières au chantier naval de Sampierdarena. L'absence d'une installation permanent de construction naval (à savoir d’un grand arsenal dans le port) contraint ainsi l'activation et de la mobilisation des énergies, ressources et compétences qui sont «diffuses» à l'intérieur de tout le Dominio de Gênes. L'intention est de refléter sur l'expérience génoise de la construction de grands navires dans la seconde moitié du XVIIe siècle, comme exemple qui met en valeur les particularités des structures urbaines de la ville de Gênes et mettre en évidence la relation spéciale entre la ville et sa région, entre complémentarité et intégration.
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